Elle travaille également à l’analyse des inégalités d’accès à la nature et à la proposition de politiques en faveur de la justice environnementale. La principale contribution de Léa et de ses collègues à ce sujet est d’utiliser un indicateur d’inégalité multidimensionnelle, basé non pas sur 1 mais sur 8 dimensions du bien-être ! En plus des aménités* et des nuisances environnementales, cet indicateur comprend la santé, l’éducation, la participation politique, la sécurité physique et économique. Il permet de déterminer où les projets de renaturation réduiraient ou exacerberaient les inégalités sociospatiales.